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Une plongée spectaculaire dans le richesse culturelle italienne et mondiale, à vue d’homme. Les musées occupent un bâtiment impressionnant et propose de nourrir les plus curieuses et curieux d’entre vous pendant plusieurs heures de découvertes. Loin du tintamarre touristique de base. Une vraie belle surprise.

Opus Sectile dans le Musée du Haut moyen-Age du Musée national préhistorique et ethnographique Luigi-Pigorini à Rome.
Opus Sectile dans le Musée du Haut moyen-Age du Musée national préhistorique et ethnographique Luigi-Pigorini à Rome.

Le complexe muséal formé par le Musée national préhistorique et ethnographique Luigi-Pigorini et le Musée national des Arts et Traditions populaires est situé dans le quartier de l’EUR à Rome au sud du centre-ville.

Que diriez-vous de découvrir les cultures et traditions populaires des différentes régions italiennes ? Et accessoirement de plonger dans l’histoire de l’humanité et de différents peuples des 4 continents ? Des collections riches et diversifiées, une architecture moderne, offrent un bain de culture assez époustouflant.

Rome ne manque pas de musées extraordinaires. Il n’est pas surprenant qu’une majorité de visiteurs préfère les Musées du Vatican, les Musées romains ou la Galerie Borghese à d’autres propositions plus originales comme le centre d’art contemporain Maxxi, le Musée Montemartini ou celui-ci. Pourtant, on aimerait presque que ce lieu devienne un incontournables de toute visite à Rome.

Entrée du Musée des arts et traditions populaires de Rome.
Entrée du Musée des arts et traditions populaires de Rome.

Mon avis : Une belle claque ! Le complexe est sublime et assez gigantesque. Vous pourriez facilement y consacrer 3/4h (voire plus). A noter que toutes les muséographies ne se valent pas. Les collections sont d’un intérêt variable. Les plus intéressantes et originales sont celles du Musée national des Arts et Traditions populaires. Vous y découvrirez le patrimoine matériel et immatériel de nombreuses régions d’Italie. C’est riche, passionnant et surprenant aussi. Un seul billet d’entrée permet d’accéder à toutes les collections (ethnographie italienne, ethnographie du monde, préhistoire, ex musée colonial, musée du haut moyen-age…), ce qui rend l’expérience abordable. Assez rare à Rome pour être souligné.

Histoire d’un pôle muséal unique en Italie

Fondé en 2016, le Musée des Civilisations de Rome s’inscrit dans une histoire ancienne, héritant des collections, bibliothèques et archives de plusieurs institutions précédentes. Ses origines remontent notamment à l’Exposition d’ethnographie italienne de 1911, dont les objets constituèrent le noyau du Musée national des Arts et Traditions populaires, installé dès 1956 dans le Palais des Arts et Traditions populaires.

Affiche pour l'expo ethnographique de 1911 à l'origine de la collection du Musée des arts et traditions populaires de Rome.
Affiche pour l’expo ethnographique de 1911 à l’origine de la collection du Musée des arts et traditions populaires de Rome.

Trois figures fondatrices jalonnent l’histoire du musée : l’anthropologue Lamberto Loria, pionnier de l’ethnographie italienne, le collectionneur Evan Gorga, auteur d’un ensemble encyclopédique de 50 000 objets, et l’anthropologue Annabella Rossi, qui introduisit dès les années 1960 une approche militante et documentaire des cultures populaires contemporaines.

Ces collections témoignent de traditions, savoir-faire, récits et modes de vie longtemps exclus du champ de l’art et de l’histoire officielle, mais qui constituent la mémoire vivante de l’Italie.

Avec plus de 2 millions d’œuvres et de documents, le Musée des Civilisations est une véritable machine à remonter le temps — conservant les plus anciens artefacts de la muséologie italienne — mais aussi l’occasion d’un voyage autour du monde, célébrant la créativité humaine dans toutes ses formes d’expression et ses liens avec les espèces animales, minérales et végétales.

D’après Museiitaliani.it

Architecture du bâtiment

Le Musée des Civilisations s’étend sur près de 50 000 m², répartis entre salles d’exposition et dépôts.

Il s’agit d’un édifice d’architecture rationaliste (appelé aussi architecture fasciste) évoquant l’architecture romaine antique ou l’architecture néoclassique.

Utilisation de formes géométriques et de matériaux de construction associé à l’Empire (tuf calcaire et marbre), mais dans cette version moderne dépourvues d’ornement. A la fois somptueux et minimaliste.

Conçu pour l’Exposition universelle de Rome de 1942, jamais inaugurée en raison de la guerre, l’ensemble architectural s’organise autour de la Piazza Guglielmo Marconi, anciennement Piazza Imperiale.

Le musée occupe deux édifices jumeaux :

  • le Palazzo delle Arti e Tradizioni Popolari (au n°8), dédié aux arts et traditions populaires italiennes.
  • le Palazzo delle Scienze (au n°14), consacré aux collections préhistoriques, paléontologiques, minéralogiques, extra-européennes, alto-médiévales, coloniales et contemporaines.

Le Palazzo delle Arti e Tradizioni Popolari, édifié entre 1938 et 1942 par Castellazzi, Morresi et Vitellozzi (auteur de la façade de la gare centrale de Rome Termini), présente un plan symétrique, articulé autour d’un portique et d’un vaste cortile. Le Salone centrale conserve des fresques illustrant la vie traditionnelle italienne, tandis que l’atrium est marqué par le relief folklorique d’Amerigo Tot (1940-42).

Le Palazzo delle Scienze, construit entre 1938 et 1943 sous la direction du groupe de Marcello Piacentini, reflète les canons monumentaux de l’architecture rationaliste. L’atrium conserve deux fresques de Valerio Fraschetti – dont une inachevée – et une imposante verrière polychrome de Giulio Rosso (1941-42). Le Salone delle Scienze est orné d’une tarsia en marbre de Mario Tozzi (1943).

Dans le quartier, ne ratez pas cet autre merveille, le Palais de la Civilisation Italienne et du travail.

Salle avec fresques dans le Musée des arts et traditions populaires de Rome.
Salle avec fresques (Salone Centrale) dans le Musée des arts et traditions populaires de Rome.
Vue sur l'Obélisque de Marconi depuis le Musée des arts et traditions populaires de Rome.
Vue sur l’Obélisque de Marconi depuis le Musée des arts et traditions populaires de Rome.
Escaliers dans le Musée des arts et traditions populaires de Rome.
Escaliers dans le Musée des arts et traditions populaires de Rome.
A la jonction du Musée des arts et traditions populaires de Rome et du Musée national préhistorique et ethnographique Luigi-Pigorini.
A la jonction du Musée des arts et traditions populaires de Rome et du Musée national préhistorique et ethnographique Luigi-Pigorini.
Dans le Musée national préhistorique et ethnographique Luigi-Pigorini à Rome.
Dans le Musée national préhistorique et ethnographique Luigi-Pigorini à Rome.
Dans le hall d'entrée du Musée national préhistorique et ethnographique Luigi-Pigorini à Rome.
Dans le hall d’entrée du Musée national préhistorique et ethnographique Luigi-Pigorini à Rome.
Maquette du quartier EUR voulu par Mussolini pour accueillir les Jeux olympiques à Rome en 1942 dans le Musée national préhistorique et ethnographique Luigi-Pigorini à Rome.
Maquette du quartier EUR voulu par Mussolini pour accueillir les Jeux olympiques à Rome en 1942 dans le Musée national préhistorique et ethnographique Luigi-Pigorini à Rome.
Vue depuis le Musée national préhistorique et ethnographique Luigi-Pigorini à Rome.
Vue depuis le Musée national préhistorique et ethnographique Luigi-Pigorini à Rome.

Collections des musées

Les musées proposent une grande variété d’expositions, couvrant des périodes allant de la préhistoire à l’époque contemporaine, et des cultures du monde entier.

Musée national préhistorique et ethnographique Luigi-Pigorini :

  • Préhistoire : Expositions présentant des artefacts et des fossiles retraçant l’évolution humaine.
  • Ethnographie : Objets et artefacts des cultures du monde entier, y compris des masques africains, des totems amérindiens, et des textiles asiatiques.
  • Musée colonial : Objets ethnographiques à des témoignages historiques, artistiques, anthropologiques, archéologiques et naturalistes, tous liés à l’expérience coloniale en Afrique.

Musée national des Arts et Traditions populaires :

  • Arts Populaires : Collections de costumes traditionnels, de bijoux, et d’objets artisanaux italiens.
  • Traditions : Expositions sur les fêtes traditionnelles, les danses folkloriques, et les métiers artisanaux d’Italie.

Arts et Traditions populaires italiennes

Le Palazzo delle Arti e Tradizioni Popolari, intégré au Musée des Civilisations de Rome, présente un vaste panorama de la culture populaire italienne à travers trois sections thématiques.

  • La première est consacrée aux rituels religieux et aux fêtes collectives : elle expose maquettes, des objets liés aux carnavals, aux spectacles de rue, aux marionnettes et aux fameux carretti siciliani. Vous y trouverez des vidéos de chants et de danses.
  • La seconde explore la vie domestique, ses espaces, ses ustensiles et ses gestes, suivant le cycle humain de la naissance à la mort.
  • La troisième section illustre les métiers traditionnels – artisanat, agriculture, pastoralisme, activités maritimes – en soulignant leur lien étroit avec l’usage des ressources naturelles.

Le musée conserve également une exceptionnelle collection de plus de mille figurines de crèche. Ces œuvres, dont les remarquables pièces napolitaines des XVIIᵉ et XIXᵉ siècles. Véritable symbole des traditions italiennes, cet art reste vivant aujourd’hui à Naples et ailleurs et constitue l’un des joyaux du musée.

Représentation d'une fête navale à Venise dans le Musée des arts et traditions populaires de Rome.
Représentation d’une fête navale à Venise dans le Musée des arts et traditions populaires de Rome.
Crêche de noël napolitaine dans le Musée des arts et traditions populaires de Rome.
Crêche de noël napolitaine dans le Musée des arts et traditions populaires de Rome.
Chariots pour le transport de vin dans le Musée des arts et traditions populaires de Rome.
Chariots pour le transport de vin à l’allure d’escargot dans le Musée des arts et traditions populaires de Rome.
Représentation d'un tournoi chevaleresque dans la cour du Vatican dans le Musée des arts et traditions populaires de Rome.
Représentation d’un tournoi chevaleresque dans la cour du Vatican dans le Musée des arts et traditions populaires de Rome.
Photo de famille dans le Musée des arts et traditions populaires de Rome.
Photo de famille dans le Musée des arts et traditions populaires de Rome.
Marionnettes siciliennes dans le Musée des arts et traditions populaires de Rome.
Marionnettes siciliennes dans le Musée des arts et traditions populaires de Rome.
Représentation d'un tournoi de football à Florence dans le Musée des arts et traditions populaires de Rome.
Représentation d’un tournoi de football à Florence dans le Musée des arts et traditions populaires de Rome.
Verres en corne décorés de motifs religieux (Sardaigne) dans le Musée des arts et traditions populaires de Rome.
Verres en corne décorés de motifs religieux (Sardaigne) dans le Musée des arts et traditions populaires de Rome.

Préhistoire

Le Musée des Civilisations de Rome abrite la plus vaste collection préhistorique italienne, avec plus de 150 000 pièces couvrant un arc chronologique qui va de l’âge de la pierre aux premiers témoignages d’écriture.

Parmi les pièces maîtresses figurent le crâne néandertalien Guattari 1 découvert au Circeo, trois célèbres statuettes féminines dites « Vénus », les pirogues néolithiques du lac de Bracciano, la nécropole et l’habitat de Gricignano d’Aversa, des armes rituelles nuragiques, ainsi que la précieuse Fibule Prenestine, l’un des plus anciens exemples de latin écrit.

La préhistoire désigne la longue période qui précède l’invention de l’écriture et représente la majeure partie du parcours humain. Elle ne fut ni uniforme ni linéaire : domestication des plantes, métallurgie, fondation d’habitats stables ou traditions artistiques se développèrent différemment selon les régions et les époques.

Diverses espèces humaines coexistèrent et s’adaptèrent aux mutations climatiques, jusqu’à l’expansion d’Homo sapiens et la constitution de cultures complexes.

Frise chronologique des espèces humaines dans le Musée national préhistorique et ethnographique Luigi-Pigorini à Rome.
Frise chronologique des espèces humaines dans le Musée national préhistorique et ethnographique Luigi-Pigorini à Rome.
Petits bols en argile dans le Musée national préhistorique et ethnographique Luigi-Pigorini à Rome.
Petits bols en argile dans le Musée national préhistorique et ethnographique Luigi-Pigorini à Rome.

Ethnographie

Les collections ethnographiques du Musée des Civilisations offrent un vaste panorama des cultures extra-européennes à travers environ 85 000 œuvres provenant d’Afrique, d’Amérique, d’Océanie et d’Asie. Elles témoignent à la fois de la richesse des sociétés représentées et du regard historique porté sur elles par l’Europe.

Les collections africaines (près de 10 000 pièces) retracent l’arrivée des premiers objets sur le continent européen dès la Renaissance, intégrés aux trésors princiers et aux Wunderkammern. Leur essor fut lié aux explorations coloniales et à la Conférence de Berlin (1884-1885), qui favorisèrent la constitution de grands musées ethnographiques. Masques et sculptures, souvent extraits de leur contexte rituel, influencèrent les avant-gardes artistiques européennes du début du XXe siècle (cubisme, expressionnisme), malgré des lectures simplificatrices.

Les collections américaines (20 000 pièces) explorent l’archéologie et les cultures de la Mésoamérique, de l’Amérique centrale et des Andes : des Olmèques aux Aztèques, des Moche aux Incas, elles documentent rituels, productions artisanales et organisation politique jusqu’à la conquête espagnole.

Les collections océaniennes (15 000 œuvres) couvrent la diversité culturelle de la Nouvelle-Guinée, des îles Salomon, de la Polynésie et de l’Australie. Elles présentent maisons cérémonielles (haus tambaran), systèmes d’échanges rituels (kula), cultes des ancêtres (malagan), objets liés au mana polynésien, ainsi que peintures, masques et sculptures exprimant le lien spirituel avec le territoire.

Enfin, les collections asiatiques (40 000 pièces) proviennent pour beaucoup des missions archéologiques italiennes et des dons de diplomates ou voyageurs. Elles couvrent un large spectre : antiquités iraniennes, art islamique, sculptures bouddhiques du Gandhara, thangkas tibétains, œuvres de l’Inde, de la Chine, du Japon et de la Corée. Elles témoignent d’échanges millénaires, de la diffusion des religions et de l’impact des collectes coloniales et savantes entre XIXe et XXe siècles.

Statues funéraires de Nouvelle Calédonie dans le Musée national préhistorique et ethnographique Luigi-Pigorini à Rome.
Statues funéraires de Nouvelle Calédonie dans le Musée national préhistorique et ethnographique Luigi-Pigorini à Rome.
Masque de Nouvelle-Irlande dans le Musée national préhistorique et ethnographique Luigi-Pigorini à Rome.
Masque de Nouvelle-Irlande dans le Musée national préhistorique et ethnographique Luigi-Pigorini à Rome.

Ex-Musée colonial

L’Ex Museo Coloniale de Rome fut inauguré en 1923 au Palais de la Consulta, alors siège du ministère des Colonies. Conçu comme un instrument de propagande destiné à valoriser les entreprises coloniales italiennes, il rassemblait dès l’origine des collections venues de Libye, d’Érythrée et de Somalie, déjà présentées lors de foires et d’expositions, dont celle de Gênes en 1914.

Progressivement enrichi, le fonds atteignit près de 12 000 pièces, allant d’objets ethnographiques à des témoignages historiques, artistiques, anthropologiques, archéologiques et naturalistes, tous liés à l’expérience coloniale en Afrique.

En 1935, l’institution fut transférée via Aldovrandi et prit, l’année suivante, le nom de Musée de l’Afrique italienne. Après la Seconde Guerre mondiale, il rouvrit en 1947, précisément au moment où l’Italie renonçait à ses colonies. Le musée, désormais privé de sa raison d’être, perdit rapidement de son importance et ferma définitivement ses portes dans les années 1970. Ses collections furent ensuite confiées à différentes administrations avant d’intégrer, en 2017, le Museo delle Civiltà.

Aujourd’hui, ces ensembles constituent un champ de recherche et de réflexion critique sur le colonialisme italien, invitant à interroger les mémoires, les oublis et les héritages d’une histoire complexe.

Maquette du siège de FIAT à Tripoli en Libye (architecte Carlo Enrico Rava) à l'ex Musée colonial dans le Musée national préhistorique et ethnographique Luigi-Pigorini à Rome.
Maquette du siège de FIAT à Tripoli en Libye (architecte Carlo Enrico Rava) à l’ex Musée colonial dans le Musée national préhistorique et ethnographique Luigi-Pigorini à Rome.
Maquette du Palais de Massawa, siège du gouverneur italien en Erythrée à l'ex Musée colonial dans le Musée national préhistorique et ethnographique Luigi-Pigorini à Rome.
Maquette du Palais de Massawa, siège du gouverneur italien en Erythrée à l’ex Musée colonial dans le Musée national préhistorique et ethnographique Luigi-Pigorini à Rome.
Bataille d'Adwa par Aleka Loukas (?) dans l'ex Musée colonial dans le Musée national préhistorique et ethnographique Luigi-Pigorini à Rome.
Bataille d’Adwa par Aleka Loukas (?) dans l’ex Musée colonial dans le Musée national préhistorique et ethnographique Luigi-Pigorini à Rome.
Portrait de l'artiste ethiopien Agegnehu Engida dans l'ex Musée colonial dans le Musée national préhistorique et ethnographique Luigi-Pigorini à Rome.
Portrait de l’artiste ethiopien Agegnehu Engida dans l’ex Musée colonial dans le Musée national préhistorique et ethnographique Luigi-Pigorini à Rome.

Antiquité tardive et haut Moyen Âge

Peut être la partie la plus vétuste et la moins accessible en termes d’informations. Neuf salles illustre la transition entre Antiquité tardive et haut Moyen Âge (IVe–Xe siècles).

Vous y trouverez des bas-reliefs, des armes, des sculptures et des bijoux (verrerie et ivoires). Les sculptures illustrent la dégradation des savoir-faire après la chute de l’Empire romain.

Le clou de l’expo, est la spectaculaire reconstitution de l’opus sectile de Porta Marina à Ostie (IVe s.). Une marqueterie-mosaïque avec des motifs géométriques et figuratifs recouvrant à l’origine les murs d’une pièce.

Opus Sectile dans le Musée du Haut moyen-Age du Musée national préhistorique et ethnographique Luigi-Pigorini à Rome.
Opus Sectile dans le Musée du Haut moyen-Age du Musée national préhistorique et ethnographique Luigi-Pigorini à Rome.
Sculpture de toute beauté dans le Musée du Haut moyen-Age du Musée national préhistorique et ethnographique Luigi-Pigorini à Rome.
Sculpture de toute beauté dans le Musée du Haut moyen-Age du Musée national préhistorique et ethnographique Luigi-Pigorini à Rome.
Collier en or dans le Musée du Haut moyen-Age du Musée national préhistorique et ethnographique Luigi-Pigorini à Rome.
Collier en or dans le Musée du Haut moyen-Age du Musée national préhistorique et ethnographique Luigi-Pigorini à Rome.

Informations pratiques

Le Musée national préhistorique et ethnographique Luigi-Pigorini et le Musée national des Arts et Traditions populaires sont situés dans le quartier de l’EUR à Rome au sud du centre-ville.

Adresse : Piazza Guglielmo Marconi, 8, 00144 Roma RM, Italie

Accès : Métro : Ligne B, station EUR Fermi.

Horaires d’ouverture : Ouvert du mardi au dimanche, de 8 h à 19 h (dernière entrée à 18 h 30).

Prix d’entrée (en 2025) : Billet plein tarif : 10 €. Billet à tarif réduit : 2 €. Entrée gratuite pour les citoyens de l’Union européenne de moins de 18 ans, les abonnés et toutes les personnes éligibles. Entrée gratuite tous les premiers dimanches du mois.

Site officiel : https://www.museodellecivilta.it/

Carte de Rome : Tous les lieux du guide

Retrouvez tous les lieux du guide à visiter sur la carte de Rome (Italie) : Hôtels selon votre budget, monuments incontournables et insolites, musées originaux et superbes, parcs romantiques et reposants, bars animés, où sortir, shopping vintage…

Bon plan ! Vous pouvez télécharger gratuitement la carte pour une utilisation hors connexion.

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Maciej

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