Témoin de mariage par où commencer la préparation de l’EVG de votre meilleur ami.
Vous allez être témoin de mariage
Ca y est, votre meilleur ami vient de vous l’annoncer, il a demandé sa main à sa dulcinée et elle a accepté. Vous serez son témoin de mariage. Connaissant vos talents d’organisateur (et ceux de ses autres amis), il ne vous demande pas d’être son témoin, il vous informe.
Etre témoin est un honneur. Une fois cette brève satisfaction passée vient l’heure de la to-do list. Vous voilà l’homme de main du marié, son bras droit.
Avant de donner un coup de main pour le mariage, avant de pencher sur la feuille blanche qui donnera le discours drôle, émouvant et spirituel le jour J du mariage. Avant tout cela, il y a le commencement du commencement : l’EVG !
Organisation de l’EVG
Comme le commencement est une fin, on parle d’enterrement de vie de garçon.
L’EVG est une forme de débauche (ou pas), nous venant des anglo-saxons et légitimant presque tous les excès au nom des liens indestructibles du mariage.
Le témoin joue un rôle crucial à cette étape. La personne qui a des idées, celui qui les mets en forme, celui qui fait en sorte que l’ambiance soit folle mais que personne ne finisse à l’hôpital et celui qui gère le budget. Important le budget, parce qu’on veut tous que cela soit inoubliable mais pas trop cher c’est mieux.
En résumé, sky is the limit, je me mets du point de vue du futur marié : Plus votre témoin sera créatif / déglingué en plus d’être organisé et plus mémorable sera votre EVG.
Reims ou Budapest ?
Alors biensûr il arrive des options relativement soft mais relativement aventureuses pour avoir quelques histoires à raconter. Le paintball ou le rafting fournissent leurs lots de sensations fortes avec quelques chutes, fails, bleus convenant à ce type d’évènements virils.
Si vous cherchez à pimenter un peu plus l’expérience, vous pouvez partir chez les Slaves ou leur cousins les Magyars en Europe centrale. Le sens des limites est un peu différent de celui d’Europe occidentale. Un EVG à Budapest sera sauf erreur de casting plus fun qu’à Reims.
Si vous avez Netflix, prenez 1h30 pour suivre les aventures de Benjamin Cohen à ne pas confondre avec Leonard Cohen, meilleur chanteur mais un peu moins boute-en-train.
En plus des barres de rire, vous pourrez imaginer votre équipe tirer à la kalachnikov, conduire un tank – un peu comme si vous écoutiez Wagner et que vous décidiez d’envahir l’Ukraine – et toute autre expérience incluant des femmes peu vêtues et que vous ne pourrez absolument pas raconter à vos chères moitiées au retour de Hongrie.
Ce qui se passe à Budapest, reste à Budapest.